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La Terre, la vie et l'organisation du vivant

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Transmission, variation et expression du patrimoine génétique

L'Hitoire humaine lue dans son génome

Le séquençage du génome humain

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L'histoire d'Homo sapiens lue dans ses gènes

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Connaissances :

La diversité allélique entre les génomes humains individuels permet de les identifier et, par comparaison, de reconstituer leurs relations de parentés.

Grâce aux techniques modernes, on peut connaître les génomes d’êtres humains disparus à partir de restes fossiles. En les comparant aux génomes actuels, on peut ainsi reconstituer les principales étapes de l’histoire humaine récente.

Certaines variations génétiques résultent d’une sélection actuelle (tolérance au lactose, résistance à la haute altitude) ou passée (résistance à la peste).

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 « Les humains, tous parents mais tous différents »

 

2 humains pris au hasard ont une différence génétique de 0,1%.

Pour l’essentiel, ces différences génétiques sont des différences ponctuelles de bases appelées SNP (Single Nucleotide Polymorphism).

On trouve environ 2,7 millions de SNP entre 2 génomes humains pris au hasard.

 

Certaines combinaisons de SNP sont des « marqueurs géographiques » des populations et permettent d’avoir une idée des origines d’une personne par l’analyse de son génome.

 

Les SNP sont également à l’origine de différents allèles d’un gène.

 

Certains allèles sont plus fréquents dans certaines populations à qui ils ont apportés un avantage sélectif à un moment de leur histoire.

 

Par exemple :

l’allèle de la persistance de la lactase permet à celui qui le porte de digérer le lait à l’âge adulte.

Cet allèle est rare mais il est plus fréquent dans les régions où le lait est de consommation courante.

La comparaison avec les génomes fossiles a montré que les premiers hommes européens étaient intolérants au lactose.

L’apparition de la tolérance au lactose coïncide avec l’apparition de la pratique de l’élevage par les nomades d’Europe du Nord.

Cette mutation a présenté un « avantage sélectif » permettant la sélection naturelle. Ainsi dans ces populations d’Europe du Nord, ceux qui la possédaient avaient une alimentation plus riche, ils vivaient plus longtemps, se sont plus reproduits et ont plus transmis leurs allèles, la fréquence de cet allèle a donc augmenté au cours du temps, de génération en génération.  

 

Nous héritons les allèles de nos parents, qui les ont obtenus de leurs parents …etc

Mais au gré des migrations, des reproductions, des métissages s’opèrent, la sélection naturelle permet le maintien de certains allèles et la disparition d’autres.

 

L’histoire de l’humanité s’accompagne de maladies, d’événements climatiques, de changements sociétaux, qui façonnent petit à petit les génomes de demain… !  

La population actuelle est le résultat d’un gigantesque tirage au sort, le hasard intervenant au moment de la gamétogénèse puis de la fécondation, puis des rencontres aléatoires des populations.

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